mardi 22 novembre 2011

Goanna, bananes et tonte des moutons

Les traductions continuent sans faiblir, j’en ai une en route pour lundi et une autre pour la semaine prochaine. Je ne me plains pas, je les expédie aussi vite (et pas trop mal) que je peux.
Nous sommes inondés d’œufs, les poules en pondent 6 ou 7 par jour, le record est 9, pas mal pour 8 poules et 2 coqs. Il y a pourtant un lézard gros et gras, un goanna (je crois qu’on dit un iguane) qui en bouffe pas mal. 




On pense qu’il a aussi bouffé le dernier oison. Et les œufs sous la poule qui est clouque. Quel appétit ! On se fait du souci pour son cholestérol.


Côté flore il y a du nouveau. Notre plus gros bananier a décidé de fleurir. Cela donne un régime de bananes que Pascale a emballé dans un sac de grain pour le protéger des oiseaux. On risque donc de manger plein de bananes dans quelques jours. Affaire à suivre...

Fleur de bananier

Et puis il y a la tonte annuelle des moutons. Cela s’est passé aujourd’hui. C’est un peu compliqué, il faut mettre la cage sur mon pick-up, les moutons dans la cage en leur faisant grimper la rampe à bétail, et puis les amener chez la voisine Wendy qui a fait venir un tondeur pour ses bestioles (une vingtaine). Cette année nous en avons 12 dont trois agneaux et un jeune bélier qui n’ont pas besoin d’être tondus, mais qui reçoivent une dose de vermifuge comme les autres. Reste 8.
Avant
En route



Attraper les bestioles

Le tondeur en action
Wendy et Neil sont bien équipés, il y a aussi une rampe à bétail, un petit enclos où les brebis attendent d’être tondues et un système de clôtures et de prés bien clôturés très bien agencé. Cela se passe avec l’efficacité des fermes australiennes. J’ai même appris à manipuler les moutons, il suffit de les assoir sur le derrière et ils se tiennent tranquilles. On les traine sans trop de ménagement jusqu’à la tondeuse et voilà. Les quelques 30 bestioles sont tondues en trois heures et le tondeur s’en va à la ferme suivante. On remet les nôtres dans le pick-up et on rentre à la maison.


Après

Et je me jette sur ma machine pour avancer ma traduction. Demain, voile. Ouf !