dimanche 17 juillet 2011

L’hiver à Euleilah

C’est la pleine saison sèche. Il fait très beau la plupart du temps, il y a quelques fruits tropicaux comme les pamplemousses (très bons cette année) et les fruits de la passion. Pascale continue à faire des mosaïques et à planter des trucs.

Mosaïque 
Cactus

L’herbe commence à sécher de partout, sauf les « black boys », ou herbes arborescentes, ou xanthorhées qui sont en fleur et se débrouillent même pour nourrir certains oiseaux comme les blue-faced honeyeaters.

Black boy

Blue-faced honeyeater sur fleur de black boy

















Valérie et Gaia sont venues nous rendre visite. Elles sont arrivées de Byron Bay en Nouvelle Galles du sud mercredi en fin d’après-midi. Il y a bien cinq ou six ans que je ne les avais pas vues, ça fait vraiment plaisir.

Valérie, Pascale, Gaia
Beaucoup d’activités sociales et autres en cette fin semaine. Fête du 14 juillet jeudi soir. Quand on est français en Australie, cela s’impose. C’était une invitation ouverte, il est arrivé à peu près 12 personnes en plus de Valérie et Gaia. Heureusement qu’elles étaient là pour nous donner un coup de main ! 


14 juillet à Euleilah

Hier soir, il y avait une soirée musicale (connue sous le nom de « jam session ») à Baffle Creek, suivie de l’anniversaire de la copine Jane.
Valérie et Gaia sont parties ce matin. Pascale et moi avons fait un petit stage de sécurité sur les armes à feu. C’est la première étape pour obtenir une licence pour avoir une carabine, même un 22 long rifle. On devrait recevoir nos diplômes dans 2-3 semaines. Après ça, on peut faire une demande de permis chez les flics, et puis finalement acheter une arme. Affaire à suivre. Il a fait un temps vraiment pourri, nuageux et froid (16 degrés), très bien pour ce genre d’activités.
Les activités sociales continuent ce soir avec « Noël en juillet » chez Phil et Judy. Pascale vient de me dire qu’il faut « s’habiller » pour la circonstance. Vu les conditions atmosphériques je n’avais pas l’intention de m’y rendre à poil, mais il va falloir quand même trouver des frusques à moitié convenables.

Je ferais bien d’y aller...

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